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About Ecole Saint François Xavier de Ouanaminthe FIC

L’exploit inédit du collège Saint-François Xavier (FIC, Ouanaminthe) à Génie Royal National (GR

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Description

LE FRÈRE EST UN RELIGIEUX ÉDUCATEUR
Par sa consécration religieuse, il cherche à imiter de plus près la forme de vie que le Fils de Dieu a menée sur terre et qu'il a proposée à ses disciples.

Par sa mission apostolique, il actualise le charisme des Fondateurs Jean-Marie de la Mennais et Gabriel Deshayes, en se rendant disponible aux appels de l'Église et du monde, dans le domaine de l'éducation.


Religieux
Séduit par le Christ : Laprofession religieuse est la démarche d'un homme que la personne de Jésus a séduit et qui entend se déclarer publi-quement pour lui. C'est le sens des trois vœux que le frère prononce lors de sa profession :

obéissance : rechercher la volonté du Père et lui obéir à travers les médiations humaines.
pauvreté : se servir des biens de ce monde sans y attacher son cœur.
chasteté : appartenir à Dieu d'un cœur sans partage.
Éducateur
L'Institut remplit sa mission apostolique par l'éducation humaine et chrétienne, des jeunes surtout, particulièrement des humbles et des pauvres.

La Congrégation choisit l'école – particulièrement l'école chrétienne - comme moyen privilégié d'éducation. Les Frères s'y consacrent à l'enseignement, à la catéchèse et aux autres activités suggérées par les besoins du milieu.

L'éducation de la foi, à travers l'enseignement religieux, la catéchèse et les mouvements d'animation spirituelle, est le souci majeur de tous les frères


Missionnaire
En vertu d'un vouloir manifeste des Fondateurs, la Congrégation est également vouée à l'apostolat missionnaire.

Certains Frères reçoivent de Dieu un appel précis à cet appel particulier. Ils partent, dans la foi et l'obéissance, pour faire connaître la Bonne Nouvelle du salut offert par Jésus-Christ.


En Communauté de vie et de prière
Les Frères vivent en communauté fraternelle. Dans la simplicité et dans la joie, ils acceptent de partager ce qu'ils sont, ce qu'ils font et ce qu'ils ont.

Chaque jour, sauf impossibilité, ils prennent part au Sacrifice eucharistique.

Deux fois par jour, ils se rassemblent pour prier en communauté : le matin pour l'Office divin et l'oraison ; le soir, pour l'adoration du Saint-Sacrement et les Vêpres.

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Item Reviews - 6

Anynomous

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Happy 90 years old SFX

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30 November 2023

Anynomous

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Bonne fête à tous les Xaviérois et Xaviéroises... SFX,90 ans d'existence ...

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29 November 2023

Anynomous

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RIP Greg! SFXO pap janm bliyew........

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29 October 2023

Anynomous

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12 July 2023

Anynomous

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Ruby Bridges Hall, née le 8 septembre 1954 à Tylertown au Mississippi, est une femme américaine connue pour être la première enfant noire à intégrer une école pour enfants blancs. Elle déménagea avec ses parents à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane, à l'âge de six ans, en 1960. À cette date, ses parents répondirent à un appel du NAACP et acceptèrent que leur fille participe à l'intégration dans le nouveau système scolaire mis en place à La Nouvelle-Orléans. Elle devint ainsi l...a première enfant noire à aller à la William Frantz Elementary School et la première enfant afro-américaine à fréquenter une école blanche en Louisiane.

À cause de l'opposition des blancs à intégrer les noirs, elle eut besoin de protection pour entrer à l'école. Mais, les officiers de police locaux et de l'État refusant de la protéger, elle fut accompagnée par des "marshall" fédéraux. Sa mère lui avait dit qu'il « pourrait y avoir beaucoup de gens près de cette nouvelle école », mais à part cela, elle n'avait pas été prévenue de la foule de racistes enragés qu'elle devrait traverser pour arriver à l'école. Comme elle le décrit, « de la voiture, je pouvais voir la foule, mais puisque je vivais à La Nouvelle-Orléans, je croyais que c'était Mardi Gras. Il y avait une grande foule de personnes près de l'école. Elles lançaient des choses et me criaient dessus, mais ce genre de chose arrivait à La Nouvelle-Orléans au Mardi Gras ».

Son premier jour d'école, le 14 novembre 1960, a été commémoré par Norman Rockwell dans un tableau intitulé The Problem We All Live With (Le problème avec lequel nous vivons tous).

Quand Ruby arriva à l'école, des parents blancs entrèrent aussi mais sortirent leurs enfants de l'établissement. Tous les enseignants, à l'exception d'une professeur blanche, refusèrent également de faire cours s'il y avait une enfant noire dans l'école. Seule Barbara Henry, qui était originaire de Boston, au Massachusetts, accepta de faire cours à Ruby. Pendant un an, Mme Henry enseigna donc uniquement à Ruby, comme si elle enseignait à toute une classe.

Son père perdit son emploi et ses grands-parents, agriculteurs du Mississippi, furent renvoyés de leurs terres.

Ruby Bridges, aujourd'hui Bridges Hall, vit toujours à La Nouvelle-Orléans. Elle est maintenant la porte-parole de la Ruby Bridges Foundation, fondée en 1999 pour promouvoir « les valeurs de la tolérance, du respect et de l'appréciation des différences ». Décrivant la mission de cette association, elle dit : « le racisme est une maladie importante ».

Le 27 octobre 2006, la municipalité d'Alameda, en Californie, a ouvert une école élémentaire portant le nom de Ruby Bridges et a fait une déclaration en son honneur.

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03 December 2023

Anynomous

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Les victimes du « chawa pete »Depuis l’an 2008 avec l’avènement du Rap kreyòl dans l’industrie musicale haïtienne, un rythme d’ailleurs très déconseillé aux jeunes-enfants à l’étiquetage immoral, le slogan à l’époque était « granmoun yo echwe[i]». Un mouvement anti-gérontocratique, une phrase qui a remis en question d’une part la considération de l’encadrement des jeunes, d’autre part leur place dans la construction de l’Etat nation, mais surtout la culpabilité des plus âgés ...dans la situation misérable du pays, qui réduit du coup le symbole du respect des cheveux gris dans notre société.Si dans les années 60 on a parlé de révolution sexuelle avec la première génération des « baby boom[ii]» au canada et dans les pays nord-européens,le flux de cette révolution devrait attendre l’an 2000 pour se faire remarquer en Haïti avec le Hip-hop créole.Il n’est pas sans savoir l’influence de la musique sur l’âme humaine. Le trio infernal musique drogues et sexualité font très bon ménage dansles espace de détente, particulièrement quand il s’agit de musique stimulatrice. En moins de 10 ans plus tard, on assiste à une mutation du rap kreyòl en un rabòday de plus en plus excitant et dévergondé. En réalité presque toutes les révolutions se font en chansons, il en va de même pour la révolution sexuelle.Que ce soit dans les festivités, dans les voitures de transport ou dans la rue, tout le monde danse au rythme du Rabòday, un style de musique très apprécié par les jeunes communément appelés «Bredjenn » ou « Blodè», a constaté Haïti Press Network.Des refrains comme « alaway », « maché tonnère », « Blodè », « timamoun » et le tout dernier en date « chawa pete[iii] » connait des records absolus d’audiences. Ces mots entrent catégoriquementdans le verbe quotidien de nos jeunes. Dans les festivités pour faire du hit,il faut jouer du rabòday. Un programme sans rabòday est échoué dès le départ, c’est un fait, bien que difficile à digérer ! C’est un calvaire pour les plus âgés dans les camions

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01 June 2023

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